à propos du gram
PESER DANS LA LUTTE
CONTRE LES MALADIES
CARDIOVASCULAIRES
Créé en 2018 par le Pr Roland N’guetta, cardiologue et président de la Société Ivoirienne de Cardiologie, le GRAM (Groupe d’Action et de Recherche contre les maladies Cardiovasculaires) est une organisation à but non lucratif et apolitique engagée activement dans la prévention, la prise en charge et la recherche pour peser dans la lutte contre les maladies cardiovasculaires en Côte d’Ivoire et en Afrique subsaharienne.
Le GRAM collabore avec de nombreux partenaires locaux et internationaux : sociétés médicales et civiles, entreprises privées et publiques, organisations non gouvernementales actives dans le domaine de la santé. En Côte d’Ivoire, le GRAM possède des bureaux dans la ville d’Abidjan et à Grand Bassam :
- ABIDJAN : Riviera 5 – Route de Bingerville – Cité espérance
- GRAND BASSAM : Port-Bouët – Route de Bassam – Cité Atlantide 2
Le GRAM ambitionne d’ouvrir des bureaux de liaison sur toute l’étendue du territoire de la République de Côte d’Ivoire selon les besoins opérationnels liés à l’efficacité de ses activités.
AGIR MAINTENANT
- On estime à environ 17,9 millions le nombre de décès imputables aux maladies cardio-vasculaires
- 82% des personnes qui meurent de maladies cardio-vasculaires vivent dans les pays en développement
D’ici 2030, l’OMS estime que près de 23,6 millions de personnes mourront d’une maladie cardio-vasculaire (cardiopathie ou AVC principalement)
En Afrique, les maladies cardiovasculaires tuent davantage que le paludisme et le SIDA. En outre, la charge représentée par les maladies cardiovasculaires augmente si rapidement en Afrique que ces maladies sont devenues un problème de santé publique dans toute la région africaine. Les principales cardiopathies sont : l’hypertension artérielle, les accidents vasculaires cérébraux, les cardiomyopathies et les maladies coronariennes. Par ailleurs, les cardiopathies rhumatismales restent un problème préoccupant.
Comme les autres maladies non transmissibles, les MCV ne reçoivent pas toujours l’attention qu’elles méritent. En conséquence, la plupart des pays ne sont pas dotés des programmes nationaux ou des stratégies nationales nécessaires pour y faire face. En outre, les systèmes de surveillance des facteurs de risque sont pratiquement inexistants en Afrique. Il est donc urgent d’agir afin d’alléger leurs charges sanitaires et économique dans nos pays.
